Communautés religieuses
- Sœurs de Notre-Dame du Calvaire
Elles vivent dans le complexe des bâtiments Notre-Dame, rue Ravon.
Leur charisme est lié, à Bourg-la-Reine, aux diverses institutions qui y sont hébergées. On peut notamment citer le foyer Notre-Dame.
Leur histoire est d’ailleurs présentée sur le site de ce dernier.
- Oblates de l’Assomption
Nous sommes une communauté de la congrégation des Oblates de l’Assomption, Religieuses Missionnaires. Nous faisons partie d’une famille plus large, la famille assomptionniste, qui rassemble quatre autres congrégations : Augustins de l’Assomption, Religieuses de l’Assomption, Petites Sœurs de l’Assomption et Orantes de l’Assomption.
Un peu d’histoire...
Nous sommes arrivées à Bourg-la-Reine en octobre 1971, une époque où, dans la mouvance du Concile Vatican II, nous cherchions à fonder de petites communautés plus familiales et proches de nos contemporains. Quelques sœurs travaillaient dans une petite clinique, située à la limite de Sceaux. La législation ne les autorisant plus à loger sur place, elles viennent habiter au 21 avenue Galois.
La maison est devenue tour à tour communauté apostolique, noviciat, communauté d’accueil d’étudiantes ou de jeunes professionnelles, et a vu passer des sœurs travaillant dans différents domaines : services de la Congrégation, Bayard Presse, associations diverses.
Depuis janvier 2010, la communauté est formée de cinq sœurs et a pris un visage plus âgé, où chacune reste soucieuse de répondre aux trois axes fixés par la Congrégation : les pauvres, les jeunes, les vocations.
C’est ainsi que nous sommes présentes : dans la gestion administrative de la région France pour notre congrégation, à la paroisse par la catéchèse, dans le service de la vie quotidienne de notre groupe communautaire, dans l’animation à l’Auberge de Jeunesse Assomptionniste, ainsi que dans plusieurs associations caritatives.
La polyvalence de nos vies apostoliques se veut fidèle au charisme de notre congrégation, qui nous demande d’être « filles de l’Église », et d’œuvrer pour que son « règne vienne » (c’est notre devise).
